Les tomates du futur

Sommet de l’Océan à Nice. Et si tout commençait… dans les champs ?Avant d’atteindre les lagons, les pesticides s’infiltrent dans la terre.Avant d’abîmer l’océan, c’est la façon de cultiver qu’il faut repenser. En 2020, j’ai transformé la ferme de mon arrière-grand-père à Maurice en exploitation hydroponique. – 40 tonnes de tomates/an.– 90 % d’économie d’eau.– Zéro déversement dans les nappes ni vers l’océan.– Nourrir sainement, c’est aussi protéger les océans. Clin d’œil à l’histoire : sous ce même toit, vivaient…